Par son mariage, elle apporta la seigneurie de SaumËs |
Auteur de la brance de la SaumËs, ý LablachËre |
En faveur du mariage, Annet de Borne, seigneur de Balazuc, et Gabrielle de Vesc, son Èpouse, assurËrent au mariÈ l'universalitÈ de leurs biens par un acte qui prÈcÈda de quelques mois la bÈnÈdiction nuptiale. |
Mourgues et Belon, notaires |
Terre de Balazuc, dont il hÈrita de Martine d'Urre, seconde femme de son pËre; prit une part glorieuse ý la dÈfense de la cause catholique, et Pierre Marcha le cite comme un des chefs de l'armÈe royale. Le testament de son pËre le greva de substitution en faveur des enfants de Claude de Borne |
Il transigea le 22 fÈvrier 1456 avec Pons de Joanas, fils de Gonet, au sujet de diverses censes qu'il avait sur quelques habitants de Joanas, (Brolio, notaire ý Chassiers). Il avait succÈdÈ ý la famille de LeugiËres en Èpousant en l416, EraclÈe de LeugiËres, unique hÈritiËre de cette maison, et c'est ý dater de cette alliance que les membres de cette branche de la famille de Borne sont qualifiÈs seigneurs de LaugËres, (Claude de LeugiËres vivait en 1346. Il est dit dans les reconnaissances de LaugËres, que ce fief venait de la famille de Montbrison. Audibert et Gonet de Montbrison le reconnurent aux ÈvÍques de Viviers en 1333, et Raymond de LaugËres, fils de Bermond, le reconnut en 1367 et Raymond de Malet et Bertrand de Borne l'avaient reconnu en 1445). |
Il reÁut conjointement avec son frËre devant Claude de Malet, notaire, le 4 septembre , 1529, une reconnaissance de Bertrand Jaussen pour le prÈ de Bellecour. Le 5 mars 1498 ils avaient aussi reÁu devant Gabriel Gourdon, notaire, les reconnaissances de Jacques Chabroulin et de Jean Dours pour des vignes situÈes ý Champclaux, anciennement de la paroisse de Joanas. Charles de Borne ne se maria pas, et laissa le patrimoine de sa famille qu'il avait considÈrablement augmentÈ a Loys de Borne, fils aÓnÈ de son frËre BarthÈlÈmy. |
Devenu possesseur d'une grande fortune, Claude de Borne confia la garde de ses intÈrÍts ý divers commis. Dupuy, son procureur, reÁoit ses arrÈrages dans la juridiction de Saint Pierre-de-Malet; Pierre de Gout, bailli de Jaujac, reÁoit les reconnaissances de ses emphytÈotes et perÁoit pour lui ses redevances; AndrÈ du Peloux traita en son nom avec noble Guillaume de Ginestous de la Bastide au sujet d'un droit de chapelle; Guillaume Fontayne, sieur de la DevËze, pour lors habitant Valgorge, et fils de Claude ancien fermier des droits seigneuriaux de la famille de Borne de LeugiËres, lui servit d'intermÈdiaire le 24 novembre 1625 pour le rËglement d'une affaire avec FranÁois de Castrevieille, son neveu et gendre, (Maspetit, notaire) |
Il reÁut devant Maurin Gilibert, notaire ý Aubenas, diverses reconnaissances de ses emphytÈotes de Champclaux, Vermalle et Joanas le 13 janvier 1557. Le 24 janvier 1561, il avait abandonnÈ une crÈance qu'il avait du chef de sa mËre sur Antoine de la Balme, son beau-frËre, en Èchange de la juridiction haute, moyenne et basse sur une maison que FranÁois de Borne avait ý Uzer appelÈe La Bastide et sur un espace de 80 pas autour de ladite maison. Il abandonna ý Jean de Fay, chevalier de l'ordre du Roi, seigneur de Joanas, le 22 avril 1579, la plupart des droits qu'il avait sur Joanas et Jean de Fay lui donna ceux qu'il avait sur Valgorge. FranÁois se retira au ch’teau de Chastanet. Il vendit en 1582 le mas de LogËres ý Guillaume Fontayne, sieur de la DevËze. |
substituant ý ses hÈritiers naturels venant ý dÈcÈder sans postÈritÈ, sa niËce Jacqueline de Borne. |
Les enfants de ces deux unions ont pris alliances dans les maisons de MorangiËs, de Lux de Ventelet et de Polignac. Devenue une seconde fois veuve, la comtesse du Roure habita souvent son ch’teau de la Borie. Sa fortune Ètait ÈvaluÈe ý 961.237 livres, somme Ènorme pour l¹Èpoque |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.