Il reÁut l'hommage de FrÈdolet de MontrÈal, pour les terres de MontrÈal, Uzer et Croze |
Il transigea en 1493 avec N. de Rochesauve au sujet d'un four que celui-ci avait Ètabli ý Laborie, sans l'autorisation du seigneur; cette transaction fut ý l'arbitrage de messire Louis Comte, juge de la baronnie de Balazuc dont il eut deux fils: (Pierre de Balazuc, frËre du seigneur de ce lieu, fournit une lance au ban de 1495. Nous donnons son testament aux preuves.) |
M. êmile Chavin, dans son histoire de Saint FranÁois d'Assise, dit que GÈranton du BÈage, chevalier croisÈ, nÈ en 1040, aurait ÈpousÈ FranÁoise de Balazuc, probablement fille de Girard et s¦ur de Pons |
Mort jeune |
Il fut maintenu dans sa noblesse par jugement souverain du 15 septembre 1669 |
Connu par un hommage que lui fit, en 1077, noble Petronet de Perrin, suivant un acte d'êtienne Nux, notaire de l'ÈvÍchÈ de Viviers. M. êmile Chavin, dans son histoire de Saint FranÁois d'Assise, dit que GÈranton du BÈage, chevalier croisÈ, nÈ en 1040, aurait ÈpousÈ FranÁoise de Balazuc, probablement fille de Girard et s¦ur de Pons |
Il reÁut en 1252 I'hommage de noble Audibert de Vaulgueuil (VoguÈ); il donna en 1269 en emphytÈose ý Raymond de Libra le mas de Trignan. Le 4 des ides de fÈvrier 1272, il donna ý Raymond de Sampzon, son fidËle damoiseau, en rÈcompense de ses services, le droit de pÍcher dans ses viviers, et de chasser aux lapins dans ses clapiers. Cet acte fut fait en prÈsence de Jean de Cialon, juge du seigneur de Balazuc, et de AndrÈ " armiger dicti judicis." Le 7 septembre 1304, il reÁut l'hommage de Bertrand de Chazeaux |
Il rendit hommage en 1330 et 1333 ý l'ÈvÍque de Viviers pour ce qu'il possÈdait ý Balazuc, Chauzon, Saint-Maurice-d'lbie. Nous devons aussi attribuer ý ce Guillaume la signature que nous trouvons au bas d'un acte de 1313 contenant partage du devois de Baynes, prËs Viviers, entre Louis ÈvÍque de Viviers, Guillaume LÈard d'Aps et noble Guillaume de Balazuc |
Le 20 fÈvrier 1609, il acheta pour le prix de 36.000 livres, la terre, seigneurie et mandement de Joanas, fiefs, arriËre-fiefs avec haute, moyenne et basse justice et autres droits seigneuriaux, ainsi que les rentes de Saint-Jean-le-Centenier et Villeneuve-de-Berg, de Jean et Henri de Fay-Peyraud, barons de VÈzenobres, pËre et fils, (MÈnard, notaire ý NÓmes). Guillaurne tomba malade pendant la campagne du PiÈmont et vint mourir ý MontrÈal |
Il vendit en 1438, ý Jean Ruons, cordonnier d'Aubenas, une rente de deux quartes de froment au prix de 6 moutons d'or, et le 17 octobre 1442 il vendit au mÍme les censes servitudes et juridiction dans le mandement de Lanas et droit de bateau sur l'ArdËche, au prix de 37 livres tournois |
Mort jeune |
Il se distingua, comme son pËre et son aÔeul, dans les guerres religieuses du XVIIË siËcle. Son Èpouse lui apporta une dot importante pour l'Èpoque et dont il avait grand besoin. Son pËre et lui avaient absolument dÈpensÈ leur fortune personnelle au service du Roi |
Il prit une part active aux guerres civiles du XVlË siËcle; il transigea le 3 dÈcembre 1566, avec Dominique Bernard, Ècuyer, seigneur de Montbrison et noble Gaucher de Brison, relativement aux droits seigneuriaux sur le mas de Rieu de la paroisse de Sanilhac. Il transigea aussi devant AndrÈ, notaire, le 17 mai 1589 avec noble Gaspard de Castrevieille, cosseigneur de Jaujac, au sujet de rentes communes entre eux. De cet acte appert qu'Antoine de Balazuc, aÔeul de Jean, avait dotÈ sa soeur, femme de Jean de Castrevieille, de huit livres de rentes ý prendre sur les emphytÈotes de Jaujac |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.