TÈmoins : Jean Trichet oncle de Pradons, Gabrielle de Borne sa tante de Lavilledieu. PrÈsents: Jean Gascon et Jacques Borne. |
TÈmoins : sieur Jean Chambon de Villeneuve de Berg, demoiselle Marguerite Reynaud. Gascon curÈ |
TÈmoins : Etienne Borne, Marie Vallos. Gascon curÈ Les parents sont dits de St AndÈol de Bere |
TÈmoins : AndrÈ Borne, Jeanne Boree. Gascon curÈ |
TÈmoins : Anthoine Borbe son frËre, Anne Borne sa soeur.Bonnas curÈ. |
BOR ... sur acte. |
TÈmoins : Louis Peyre, Girardier de Lavilledieu. Charton curÈ. |
TÈmoins : Jean Pere son oncle, Gabrielle Borne sa tante. Bonnas curÈ. |
TÈmoins : Antoine Ozil dit Chambeau, Claude Lauriol. Gascon curÈ |
TÈmoins: Jean FranÁois Villard, AndrÈ Bertrand, FranÁois Villard, Joseph Vincent. Delatour vicaire |
TÈmoins : Jacques Borne, Marie Pere. Bonnas curÈ. |
TÈmoins : Charles Borne, Anne ... femme de Guillaume Clemen le mareche. PrÈsents: Simon Bonnaure. |
TÈmoins : Jacques Borne, Claude Trichet. PrÈsents: AndrÈ Garnier, Raimon Bertrand et Raimon Bonneton. |
TÈmoins : Joseph Chabert, Susanne Pere. Bonnas curÈ. |
Acte non filiatif |
Au x: parents de Suzanne non mentionnÈs. |
TÈmoins : Claude Perier fils ý Claude, Suzanne Brian fille de BarthÈlÈmy. Gascon curÈ |
Armorial du Vivarais, BenoÓt d'Entrevaux: Armes : D'or, ý l'ours rampant de sable armÈ et lampassÈ de gueules. (Armorial de 1696) Famille chevaleresque qui fournit de nombreux personnages marquants et qui eut d'illustres alliances. Ses armes figurent ý la salle des Croisades. La filiation de cette maison commence ý Guillaume de Borne, vivant en 1152, auquel on donne deux fils: Pierre et Guigon. Le 9 octobre 1375, Armand de Borne, damoiseau, Èpousa Delphine d'Altier, hÈritiËre de son nom, sous l'obligation de relever le nom et les armes d'Altier. Le dernier reprÈsentant de cette branche des Borne d'Altier fut: FÈlix-Jean-Baptiste, page du roi 1768, major de dragons au rÈgiment de Conti, chevalier de Saint-Louis, qui servit dans l'armÈe des princes pendant l'Èmigration. Il mourut marÈchal de camp des armÈes du roi, le 13 octobre 1828, ý Munich, sans postÈritÈ. Son frËre Charles-Jean-Baptiste-Victor et son neveu Gabriel-Hercule-Victor pÈrirent sous la hache rÈvolutionnaire. R. de Gigord dans le Mandement de Joanas et ses seigneurs donne une gÈnÈalogie assez complËte de cette maison divisÈe en plusieurs branches. Celle des Borne, seigneur de LaugËres, alias LeugiËres ou LogËres, finit au XIIËme degrÈ. Annet de Borne, seigneur de Naves et Mirandol, Èpousa, le 25 octobre 1625, au ch’teau de Banne, Gabrielle de Grimoard de Beauvoir du Roure, fille de Messire Jacques, comte du Roure, et de Jacqueline de Montlaur. Ladite Gabrielle Ètait veuve de Messire Christophe d'Audibert de Lussan, seigneur de Valargues. En faveur de ce mariage, Annet de Borne, seigneur de Balazuc, et Gabrielle de Vesc, son Èpouse, assurËrent au mariÈ l'universalitÈ de leurs biens par un acte qui prÈcÈda de quelques mois la bÈnÈdiction nuptiale. De cette union il n'y eut qu'une fille, Jacqueline de Borne de LaugËres, dame de la Borie et Balazuc, mariÈe en premiËres noces ý haut et puissant seigneur, Messire Charles de La Fare, marquis de La Fare-Montclar, qui devint, par ce mariage, seigneur de Naves, des Vans, Grammaize, Ribes, Mirandol, Larzalier, le Masel, Loubaresse, Valgorge, Rocles, le Gua, Saint-Pierre-de-Malet, baron de Balazuc, Rochegude, etc. (8 fevrier 1643). De cette union naquit le poËte de la Fare. (R. de Gigord.) La branche des Borne de LigonnËs prit naissance en la personne de Bernard de Borne qui rendit hommage ý l'ÈvÍque de Viviers en 1330, et s'Èteignit par Pierre de Borne, mariÈ, en 1638, ý Alexandrine de Rochier, dont il eut: 1¯ Jean, mort cÈlibataire en 1727; 2¯ HÈlËne, mariÈe, en 1673, ý Guillaume de Saint-Etienne qui releva le nom et les armes de cette famille que l'on croit aujourd'hui Èteinte dans toutes ses branches. Jacqueline de Borne de LaugÈres, comtesse douairiËre de Grimoard de Beauvoir du Roure, fit enregistrer ses armes ý l'Armorial de 1696. Jean de Borne, Ècuyer, seigneur de la Bastide, coseigneur de Saint-Alban et Labaume, capitaine de frÈgate du roi, fils de noble Pierre de Borne, seigneur de LigonnËs, fut maintenu dans sa noblesse par M. de Bezons, le 28 mars 1670, et fut dÈchargÈ en 1699. (BibliothËque nationale, Manuscrits franÁais 32557.) Voir: R. de Gigord: Le Mandement de Joanas et ses seigneurs. L. de La Roque: Armorial du Languedoc. Deydier: Mss Jr. Archives dÈpartementales: inventaire. BibliothËque nationale, manuscrits franÁais 32293 et 32557. Revue du Vivarais: table. Courcelles. Le mandement de joanas & ses seigneurs, R. de Gigord: Porte d'or ý l'ours de sable, armÈ et lampassÈ de gueule. Cette famille est fort ancienne; une de ses branches s'Ètait fixÈe au ch’teau de LeugiËres, situÈ sur la paroisse de Joanas, et c'est ý ce titre que nous donnons ici un aperÁu gÈnÈalogique de cette antique race, dont les armes figurent au musÈe de Versailles, ý la salle dite des Croisades. Un titre fort ancien de cette famille est une transaction dont le docteur Francus met la date en 1032, mais qui est d'une Èpoque beaucoup moins reculÈe, par laquelle tous les bois et p’turages que les parties peuvent avoir dans les paroisses de Saint-Marie-de-SabliËres, Saint-Martin-de-Valgorge, Saint-Sauveur-de-Borne, Saint-Etienne-de-LugdarÈs et Saint-Laurent-les-Bains, sont communs (quantum ad usum pascendi et lignandi); mais cette transaction passÈe entre Pierre et GuÈrin de Borne fut souscrite ý l'arbitrage et ý la mÈdiation de maÓtre de Vertfeuille, recteur de Saint-Martin-de-Valgorge, et est de la fin du XIIIË siËcle; en effet, un acte original en parchemin de l'an 1295 sous la date (Die Jouis post quindenam festi Beati Joanis Baptistæ) portant reconnaissance de divers habitants de Valgorge envers Hugues de Vernon damoiseau, est signÈ par ledit de Verfeuil (magistro de viridi folio rectore Ecclesiæ sancti Alartini de Vallegorgi’), I'un des tÈmoins de cet acte reÁu par le notaire Arnaud Malarce. En l'an 1152, Guillaume de Barne, du consentement de Pierre et de Guigon, ses fils, remit entre les mains de Dom AmÈdÈe, abbÈ de Locadieu, un terroir qu'on nomme les Chambons, pour y construire une maison abbatiale et y servir Dieu sous la rËgle de Saint-Benoit. Les limites de cette donation sont trËs Ètendues,(M. LÈon VÈdel a publiÈ la charte de fondation de l'abbaye des Chambons). Delphine d'Altier, hÈritiËre de son nom, fut mariÈe le 9 octobre 1375 ý Armand de Borne, damoiseau, sous l'obligation de relever le nom et les armes d'Altier. M. Louis de la Roque a donnÈ une notice sur cette branche aujourd'hui Èteinte. |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.