P&M : Sieur Antoine Bourely, demoiselle Marie Claron. Encontres pasteur |
TÈmoins : Izac Peschaire, Abram Peschier. (pas de nom de pasteur) |
Lieu des Salelles |
TÈmoins : Antoine Lascombe, Marie Terrasse sa tante. Canaud vicaire La mËre est prÈnommÈe Marie, son nom a ÈtÈ omis |
P&M : Sieur Jean Bernard, Anne Monteil sa tante. Guyon curÈ |
P&M : Antoine Cardinal, Louise Charmasson. Vincent curÈ |
TÈmoins : Michel Duffaut, David Borie, Estienne Vigier, Pierre Villard. Bechon curÈ |
P&M : Claude Marquet de Gras, Marie Chaussi de Gras. |
Pas de date de naissance |
TÈmoins : Etienne Sabatier, Antoine Jean et Claude Perier. Bergognon curÈ Acte non filiatif |
TÈmoins : Pierre Mazellier du lieu de La Baume, Marie Hairaut du lieu des SallËles. Simon Lombard pasteur |
TÈmoins : Jean Mery grand pËre maternel, Marguerite Pigier cousine maternelle. |
TÈmoins : Louis Balazun dit Lacombe, Catherine Valen grand mËre maternelle. |
TÈmoins : Antoine PuniËre son mari, Marc PuniËre son fils, Scipion Rivet. Robau curÈ |
MalgrÈ le soutien de la municipalitÈ, Balmelle est remplacÈ le 9 octobre 1791 par un curÈ constitutionnel jureur, Terris, qui se marie avec Marguerite Mathon deux ans plus tard, le 4 novembre1793, ý Ruoms, devant le maire Jean Chalvet. Bizarrement, trois actes de mariage diffÈrents sont conservÈs dans les registres d'Ètat civil. L'un des trois dÈsigne le nouveau mariÈ: «Terris,prÍtre curÈ intrus de Ruoms » et porte la signature du curÈ rÈfractaire « Balmelle ». Cette Ètrange signature pourrait faire croire que Balmelle assistait au mariage du curÈ intrus. En rÈalitÈ,Balmelle a recopiÈ en juin 1801 les actes Ètablis par Terris pendant la pÈriode de clandestinitÈ. Terris quitte Ruoms en janvier 1794 et renonce ý la prÍtrise parun acte du 3 fÈvrier 1794: «LecitoyenJean-Baptiste Terris, prÍtre mariÈ, ci-devant curÈ de la commune de Ruoms, abdique lesacerdoce comme n'Ètant enfantÈ que par [erreur et la superstition, renonce ý sa cure, fait don ý la Nation de tout traitement qui pourrait lui revenir, remet ses lettres de prÍtrise du 2 juin1787 et dÈclare qu'au lieu de s'occuper ý prÍcher l'erreur et le fanatisme, il va s'occuper ý servir sa patrie, ý lui donner des dÈfenseurs et ý propager les lumiËres de la raison dans lacommune d'Aizac, districtdu Coiron qu'il va babiter» signÈ Terris. Il Ètait probablement fort impopulaire comme le montre le procËs intentÈ ý Jean-Baptiste LabrugËre en 1792 pour proposinjurieux contre la nouvelle constitution et contre Terris. L'accusÈ avait traitÈ Terris «d'intrus et de mauvais sujet intÈressÈ aux bÈnÈfices». |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.