| TÈmoins : Claude Vincent travailleur de terre, Anne Vincent sa tante. |
| TÈmoins : Pierre Vigier de Ribes, Jacqueline Charays. |
| TÈmoins : Claude Puimere de MontrÈal, Louis Allamel. |
| TÈmoins : Jean Boyer de Brison, Marie Vieilfaure de Sanilhac. |
| TÈmoins : Guilhaume Blanc et Antoine Labrot. |
| TÈmoins : Jean Allamel son frËre, Pierre Bertrand. |
| TÈmoins : Jean Blanc, Marie Alamel. |
| TÈmoins : Joseph Blanc et Jean BouchÈ. Dite fille de feux Jean et FranÁoise Vincent. |
| Il fut chargÈ par la communautÈ de Laurac, le 10 mai 1524, de la reprÈsenter auprËs de la curie ordinaire dudit lieu, (AndrÈ notaire). Avec le concours de sa femme, il fonda le 7 septembre 1519, dans l'Èglise de LargentiËre, la chapelle des cinq plaies, (Jacomin notaire), et la dota avec fondation de messes le 10 octobre suivant,(O. BÈraud, notaire). Le 9 janvier 1532, Jean Toulouse reconnut ý noble Pierre Allamel la terre de BourgËne, au territoire de Saint-Alban, qu'il avait acquise des seigneurs de Brison. Le 16 juin 1643, la moitiÈ de cette terre fut reconnue par AndrÈ ChastaniÈ ý noble Jean de Bonnefille, successeur des Allamel. Anne de Malet possÈdait un domaine sur Joanas connu sous le nom de la Prade de Malet. |
| Il Ètait fort avancÈ en ’ge quand, en 1645, il fut parrain de son petit-fils, Pierre Allamel, fils de Pierre et de Firmine GÈvaudan, s¦ur d'Anne GÈvaudan, mariÈe en 1611 ý Guillaume d'Allamel, son cousin germain. |
| TÈmoins : Rostain Boyer du Fez, AndrÈ Vedel. |
| Armorial du vivarais, BenoÓt d'Entrevaux: Armes: CoupÈ, d'azur et de gueules, ý la fasce d'argent accompagnÈe en pointe d'un coq d'argent chantant sur un mont de mÍme; au franc canton de trois Ètoiles 1 et 2, accostÈes ý senestre d'un croissant le tout d'argent. (L. de ta Roque) . Devise: « Vigil et Audox. » Alias: De gueules, ý la fasce d'argent, accompagnÈe en pointe d'un coq chantant sur un mont; au franc canton de trois Ètoiles 1 et 2 accostÈes ý senestre d' un croissant le tout argent, (Vicomte de Montravel). Alias: « De gueules, ý la bande d'argent, accompagnÈe « d'un coq sur un roc de mÍme; au chef cousu d'azur chargÈ de 3 Ètoiles surmontÈes d'un croissant. GÈnÈalogie communiquÈe par M. de Bournet.‹ De Courcelles. Alias: TirÈe en fasce: au 1er d'azur, ý trois Ètoiles d'argent 2 et 1 ý senestre et un croissant aussi d'argent ý dextre; au 2e d'argent; au 3e de gueules ý un coq d'argent chantant sur un mont de mÍme. (R. de Gigord.) Ancienne famille du Vivarais qui prouve sa filiation depuis Gonin Alamel ou Dalamel, notaire ý LargentiËre en 1487. FranÁois-Etienne Alamel, coseigneur de Saint-Alban, Èpousa le 21 novembre 1546, Antoinette de Bonhomme, fille ý feu Simon Bonhomme de Bagnols, (Crouzet notre). Il fut assistÈ par son cousin Claude Alamel, notaire ý LargentiËre. Cette maison dËs le dÈbut du XVIË siËcle possÈda les coseigneuries de Saint-Alban, de TrÈbuols, du Fez, de Planzolles et Saint-AndrÈ-Lachamp. Les d'Alamel furent seigneurs de Laval puis de Bournet. Au VIË degrÈ Jean Dalamel, sieur de Laval puis de Bournet par sa femme Èpousa, le 6 fÈvrier 1690, Catherine Chabaud, demoiselle de Bournet, fille de Joachim Chabaud, sieur de Bournet et de Catherine Privat. Cette ancienne maison s'allia aux meilleures familles du Vivarais et des pays voisins; donna de nombreux officiers ý l'armÈe et un R. P. JÈsuite, missionnaire. Jean-Louis, sieur de ValoubiËre, Sauvage etc., fit vÈrifier ses titres de noblesse par les commissaires de l'assemblÈe de Villeneuve-de-Berg o˜ il fut admis le 27 mars 1789 et dont il fut secrÈtaire et rÈdacteur. Il fit ensuite partie du camp de Jalez; ý sa dispersion il passa ý Lyon, se rÈunit aux dÈfenseurs de la ville assiÈgÈe par les rÈpublicains ; condamnÈ ý mort par le tribunal rÈvolutionnaire, il fut exÈcutÈ le mÍme jour 16 mars 1794 sur la place de La LibertÈ avec huit autres victimes. De nos jours la maison d'Allamel de Bournet, est honorablement reprÈsentÈe dans le Vivarais par M. ArsËne d'Allamel de Bournet et son fils Edouard de Bournet habitant au ch’teau de Bournet. Voir: Vicomte de Montravel: Mss. L. de La Roque: Armorial du Languedoc. R. de Gigord. Courcelles. Revue du Vivarais: table: Archives de l'ArdÈche B. 117, 123, 129. C. 12, 602, etc. Le mandement de Joanas & ses seigneur, Raymond de Gigord: Armes: Porte tiercÈ en fasce: au 1 d'azur ý trois Ètoiles d'argent 2 et 1 ý senestre et un croissant aussi d'argent ý dextre; au 2 d'argent; au 3 de gueule ý un coq d'argent chantant sur un mont de mÍme. Cette famille originaire de Joanas, y Ètait connue dËs la fin du XVË siËcle; nous avons relevÈ ý la date du 26 novembre 1526 la reconnaissance, en faveur de noble et puissant seigneur Pons de Joanas, de diverses terres possÈdÈes par Pierre Allamel tant en son nom qu'en celui de Catherine de Charbonnier, mËre de Jacquemette, sa femme. Le titre se termine ainsi: "Acta fuerant hæc in castro Johanassii in camer’ superiori dicti castri, testibus presentibus: Magistro l'etro Allamel, notario Argentariæ, et me Jacobo Allamel, notario". Dans une autre reconnaissance faite au mÍme seigneur par Julien Soboul, le 23 janvier 1535, on lit aux confronts d'une piËce: "et a vento cum prato Petri Allamel, notarii Argentariæ". Il est donc probable qu'il y avait un lien de famille entre les divers Allamel qui figurent dans ces actes. Ce qu'il y a de certain, c'est que cette famille forma trois branches dont une seule est aujourd'hui reprÈsentÈe. Il est probable que, suivant l'usage gÈnÈral, I'aÓnÈ de la famille eut en hÈritage la maison paternelle et nous voyons que ce fut Jacques Allamel, notaire, qui eut ce lot en partage. Il eut un fils du nom de Gabriel, aussi notaire, rÈsidant en 1566 aux Jourdos prËs TrÈbuols. Claude, fils de Gabriel, aussi notaire, rÈsidait en 1585 ý TrÈbuols et en 1606 il Ètait aux Mouriers, non loin de TrÈbuols, dans une maison nouvellement construite. Il eut un fils nommÈ Daniel, Ègalement notaire, et un autre nommÈ Pierre qui Ètablit son notariat ý Chassiers. Cette famille avait constituÈ aux Mouriers une vaste propriÈtÈ connue sous le nom de Mazade dont elle prit le nom. Claude Allamel de Mazade eut pour fils Georges, pËre de Louis, qui reÁut les reconnaissances des habitants de Prunet le 28 novembre1693. Ce rameau ne prospÈra pas; les Allamel de Mazade Ètaient gens processifs et envieux; ils perdirent leur fortune dans la chicane. Au dernier siËcle, ses alliances furent des plus communes et, pendant la RÈvolution, son dernier reprÈsentant fut un bon sans-culottes. |
| TÈmoins: Sieur Etienne Bouschier, sieur FranÁois Vincent, Jean Antoine DuprÈ et sieur Louis Ambroise Fournier. Vincent vicaire |
| La fiancÈe, assistÈe de noble Jean de Tardieu, seigneur du Mashugon, son aÔeul, et de Michelle de Tardieu, de noble Charles de Charbonnel, seigneur de Chauzon, son oncle, et de Messieurs de Chauzon et HÈbrard, ses oncles. Guillaume de Julien, seigneur de la Baume et de Rochevive, assista ý son mariage, et fut tÈmoin en 1624 d'une transaction passÈe ý Aubenas, entre Guillaume Allamel et êtienne Fangier, son beau-frËre. |
| Il fut passÈ le 9 juin 1620, devant Maspetit, notaire ý Jaujac, une obligation de 420 livres par Antoine Cellier, de Saint-Cirgues-de-Prades, en faveur de demoiselle de Tardieu, veuve ý feu Claude GÈvaudan de LargentiËre, reprÈsentÈe par Guillaume Allamel, son gendre. Le mÍme jour et devant le mÍme notaire, Charles de Charbonnel de Chauzon, habitant ý Vinezac, mari d'Anne de Tardieu, et Guillaume Allamel, procureur de Michelle de Tardieu, sa belle-mËre, donnËrent quittance ý noble Guillaume de Ginestous de la Bastide, du prix d'une mÈtairie qu'il avait acquise des hoirs Tardieu. A l'article 61 du terrier de la SaumËs, citÈ plus haut, Anne GÈvaudan est dite propriÈtaire du fief d' Aubusson du fait de Claude GÈvaudan, son pËre. |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.