| TÈmoins : Jean Guigon, Nicolas Vernet Des Teyssiers |
| TÈmoins : Philippe Roubaud, Paul Charmasson. Richard curÈ |
| TÈmoins : Messire Jacques Boissin prÍtre, Jean Villard, Etienne Bouschier, Jean Vole. Richard curÈ L'Èpouse est dite de la paroisse de SablËre habitante de Vallon depuis fort longtemps |
| TÈmoins : Simon Ginioux et Jean Bonnefoy. |
| Nom de la mËre illisible |
| TÈmoins : Jean Richard, Pierre Chabaud, Jean Vilhon, Jacques Chalvet. |
| TÈmoins : RapportÈ par: Jean et Pierre Chazalis, pËre et fils du mas de Bizac. Morte et enterrÈe ý LargentiËre. |
| TÈmoins : Jacques Silhol, Claude Blanc, Jacques Chapelle, Pierre Blanc. |
| Enfant naturel nÈ dans la maison de FranÁois Ozil de ce lieu, lequel enfant a ÈtÈ mis entre les mains de FranÁois Ozil qui s'est chargÈ d'en avoir soin. |
| P&M : Estienne Delauzun, Agathe Bouson. Guyon curÈ |
| TÈmoins : Estienne Ozil, Lucresse Silhol. Guyon curÈ |
| TÈmoins : Jean Dubois, Isaac Tourre. Armand prÍtre Il est dit natif de la paroisse du BÈage et berger chez monsieur LachadenËde |
| TÈmoins : Pierre Vedel, Pierre Vincent, FranÁois Gibert, Pierre FranÁois Marron notaire L'Èpoux est dit habitant de St Jean de Marvejol |
| De St BrÈs diocËse d'UzÈs. |
| TÈmoins : Samson Clauzel, FranÁon Pouget. Richard curÈ |
| TÈmoins : FranÁois Villard fils ý Pierre, Marie Massot. Richard curÈ |
| Armorial du Vivarais, BenoÓt d'Entrevaux: Armes: De gueules, ý la rose d'argent; au chef cousu d'azur chargÈ de trois faucons d'argent» (R. de Gigord). L'Armorial de 1696 donne: trois sautoirs, au lieu de trois faucons, ce qui doit Ítre une erreur de lecture. Nous empruntons ý la gÈnÈalogie des de Gigord, par R. de Gigord dans la Noblesse de la sÈnÈchaussÈe de Villeneuve-de-Berg en 1789, les notes qui suivent et nous renverrons les chercheurs ý l'ouvrage, source ý laquelle nous les puisons: Le nom de cette famille se trouve diversement Ècrit: Gigord, Gigort et Gigors. Le premier titre o˜ on le rencontre est un acte confirmatif de donation au prieurÈ de DomËne: Anthelme de Gigors y figure comme tÈmoin. Philippe-Auguste fit don ý Anthelme de Gigors d'une terre ou seigneurie ý DomËne, diocËse de Grenoble. En 1244, Pierre de Gigors Ètait prieur de Saillans, diocËse de Die. Suivant une tradition mentionnÈe dans les plus anciens titres et mÈmoires domestiques, un cadet de cette famille du DauphinÈ se serait attachÈ ý la persone de Randon de Joyeuse et se serait mariÈ avec l'hÈritiËre du seigneur du Vignal. Son nom Ètait Mathieu. Il est l'auteur des diverses branches aujourd'hui existantes. Mathieu de Gigord, auquel commence la filiation suivie de cette maison, fit son testament le 9 novembre 1426, devant RomËre, notaire. Dans cet acte il prend la qualification de noble et choisit sa sÈpulture dans l'Èglise de Saint-Martin-de-Chambonas, et nomme pour exÈcuteur testamentaire noble Astorg de Barbesia, auquel il lËgue son cheval et ses armes de guerre. Il dÈsigne ses trois enfants: l¯ Michel; 2¯ Jacques; 3¯ Hermessende. Cette maison fut importante en Vivarais, o˜ elle possÈda de nombreuses seigneuries, entre autres celles du Vignal et du Vignalet, de BelvËze, la Boise, la Rochette, Charaix, SouchËres, Saint-AndrÈ-Lachamp en partie, etc. Les Gigord s'alliËrent aux bonnes maisons du Vivarais et donnÈrent ý l'armÈe plusieurs officiers distinguÈs. Ils furent reprÈsentÈs ý la noblesse de la sÈnÈchaussÈe de Villeneuve-de-Berg, en 1689, par Etienne de Gigord, major de Cambrai, chevalier de Saint-Louis, pour son fief de FuchËres. Cette famille est actuellement trËs honorablement reprÈsentÈe en Vivarais. Voir: R. de Gigord: La Noblesse de la sÈnÈchaussee de Villeneuve-de-Berg, en 1789. Revue du Vivarais: table. L. de La Roque: Armorial du Languedoc. Archives dÈpartementales: Inventaire. BibliathËque nationale, manuscrits franÁais, 32557, 32293. Le mandement de Joanas et ses seigneurs, Raymond de Gigord: Porte de gueule ý la rose d'argent au chef cousu d'azur chargÈ de trois faucons d'argent. Le nom de cette famille se trouve diversement Ècrit: Gigort, Gigors et Gigord. Le premier titre o˜ on le rencontre est un acte confirmatif de donation au prieurÈ de DomËne. Lantelme de Gigors y figure comme tÈmoin, (Cartulaire de l'abbaye de Domene, 3, 4 et 5). Philippe Auguste fit don ý Antelme de Gigors d'une terre ou seigneurie ý DomËne, diocËse de Grenoble, (Du Bouchet, cartulaires, Èdition 1679). En 1244, Pierre de Gigors Ètait prieur de Saillans au diocËse de Die, (AbbÈ Vincent, notice sur Saillans, p. 124, et Colomby, Èdition Lyon 1638). En 1277, Lantelme de Gigors Ètait abbesse de Vernaison, (Archives de Valence). Le 1er juin 1193, en l'acte "De divisione partium castri et mandamenti de Aurello", figure comme tÈmoin Lantelme de Gigors (Cartulaire de l'Èglise de Die, p. 40, abbÈ Chevalier). Le 22 avril 1262, dans un article inlitulÈ: "Carta prioris Sancti Juliani de sex denariis censualibus pro vine’ Guillelmi Branlart", figure comme tÈmoin Lantelme de Gigort, chanoine de Sainte-Croix. Le 8 mars 1327, noble Guillaume de Gigors rendit hommage ý Aymar de Poitiers, pour tout ce qu'il possÈdait de noble ý Gigord, Ch’teaudouble, Montelar, Quint, Baix, Egley, (Archives de Valence). Le 3 septembre 1342, noble Berthon de Gigors, fils de Lantelme, rendit hommage au comte de Poitiers pour les mÍmes fiefs, (Archives de Valence). Le 8 octobre 1349, noble Othenin de Gigors, fils de Pierre, et Lantelme, fils de Lantelme, rendirent hommage au comte de Poitiers, pour les mÍmes terres. (Archives de Valence) Notes sur le ch’teau de Gigors, prËs de Crest (DrÙme): 1¯ Ego W. Pictavensis, Valentinus comes, in allodium dono et trado Diensi Ecclesiæ et ejus ministris, Castrum de Gigors cum omnibus munitionibus suis... et de manu benignitatis ejus, in feudam accipio, et quotiens voluerit infide et veritate me redditurum juro (1163, Cartulaire de l'Èglise de Die). 2¯ Le ch’teau relevait de l'Èveque de Die, puis du comte de Poitiers "castrum de Gigors cum omnibus quæ Guillelmus de Pictavia in Diensi episcopatu tenet". Bulle du Pape Alexandre III du 28 mars 1165. 3¯ En 1391 "Ly dessoubs s'ensuivent les lieux que tient le comte de Valentinois en propriÈtÈ de Notre Saint PËre en l'empire et les fiefs lui appartenans... Ie chastel de Gigors". 4¯ Castra quæ sant in comitatu Diensi... Gigorcium de domanlo comitat’s... in rupe alto fortissimum, habet villam sub se, distat castro Bellofortis uný parvi leucd. 1442. 5¯ Le 6 septembre 1521, les commissaires nommÈs pour l'aliÈnation des domaines du comte de Valentinois et Diois, vendirent les ch’teaux de Beaufort et Gigors, ý Catherine AdhÈmar, veuve d'Antoine de Clermont-Montoison, et ý Blanche AdhÈmar, veuve d'Aymard d'Urre, cosseigneur d'Ourches 6¯ Le 30 mars 1573, Claude de Clermont et Nicolas du Peloux devinrent acquÈreurs de ces deux selgneuries. 7¯ Elles passËrent en 1602, aux mains de Jean d'Arbalestier qui les paya 1333 Ècus et 20 sols. 8¯ De cette famille, la seigneurie de Gigors passa en celle de Truchet le 10 fÈvrier 1732, et ý Charles-Francois-ElzÈar de VogÅÈ, par son mariage avec Madeleine de Truchet. En 1418, dans un document citÈ par l'abbÈ Chevalier, on lit: "Sequuntur nomina illorum qui non præstiterunt homagia Domino nostro Delphino... nobilis l'agana Artaudi, relicta nobilis quondam Lantelmi de Gigorcio". A l'aide du cartulaire de l'abbaye de N.-D. de LÈoncel, chartes des annÈes 1169, 1185, 1212:, 1214, 1228, 1232, 1235, 14 juin 1244, 21 septembre 1245, 22 avril 1251 et 1258, il est facile d'Ètablir la filiation suivante: 1. ‹ LAMBERT DE GIGORS; Il. ‹GUILLAUME, fils de Lambert; III.‹ LANTELME, mari de Gotolente a: 1¯ Hector, 2¯ Agathe, 3¯ Lantelme qui suit; IV. ‹ LANTELME, Èpouse Guieline de Roians, fille de Guielin de Roians, dont: 1¯ Gotolens, mariÈe ý AmÈdÈe de Quint, 2¯ Lantelme qui suit. V _ LANTELME Èpouse N. Riczents, dont: 1¯ Pierre, chanoine de Die et 2¯ Humbert. VI. ‹HUMBERT, seigneur de Quint, a d'une alliance inconnue: VII. -- HUMBERT. (La s'arrÍtent les donnÈes du cartulaire ) Suivant une tradition mentionne dans les plus anciens mÈmoires domestiques, un cadet de cette famille du DauphinÈ se serait attachÈ ý la personne de Randon de Joyeuse et se serait mariÈ avec l'hÈritiËre des seigneurs du Vignal. Son nom Ètait Mathieu. Il est l'auteur des diverses branches de cette famille aujourd'hui existantes. Si l'on n'a pu Ètablir un lien plus exact avec la famille du DauphinÈ, il faut l'attribuer ý divers pillages et incendies de la maison du Vignal par les huguenots, ce qui causa la perte de titres prÈcieux ainsi qu'il est rapportÈ dans l'arrÍt rendu en 1658 par la cour des Francs-fiefs en faveur de Raymond de Gigord. |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.