| TÈmoins : Simon Court, Marie Anne Brahy Court. Canaud curÈ |
| TÈmoins : Sieur Jean VaillÈ, Anne Daigon (de Joyeuse) |
| TÈmoins : Louis Julien, Jean Maurin |
| TÈmoins : Sieur Claude Lauriol (a signÈ), Damoiselle Anthonie de Surville |
| TÈmoins : FranÁois Maurin, Jean Deydier (de VogÅÈ), BarthÈlÈmy Richard, Mathieu Court |
| COUR |
| TÈmoins : Jean Rabier du lieu des Chandolas, Jean Court de Bessas, Jean Comte Ècrivain, Jean Raoux de Bessas. |
| Lieu de Prades |
| TÈmoins : Paul et Alexandre Malzieu pËre et frËre de l'Èpouse, Jean Malzieu, Antoine Dufaud. Canaud curÈ |
| TÈmoins: Sieurs Louis Ambroise Fournier rÈgent d'Ècole, Jean FranÁois Villard, Jean FranÁois Bouschier, Simon Court, Antoine Baussier. Delclaux curÈ L'Èpoux est dit habitant de Salavas et ses parents du lieu de Prades ý Vagnas |
| TÈmoins : Antoine Serre, Elisabeth GimonÈ |
| TÈmoins : Jean Boyer, Jean Durieu InhumÈ Le mÍme jour. |
| TÈmoins : Antoine Gebelin, Marie Ladet. Chambon prÍtre et vicaire |
| Bien qu'illettrÈe, sa mËre l'envoya ý l'Ècole catholique mais l'Èleva dans la foi protestante et prÈfÈra payer l'amendeplutÙt que de le laisser assister ý la messe.Enfant prÈcoce, il assimila trËs vite tout ce que pouvait apprendre un rÈgent d'Ècole. Il ne put cependant continuer ses Ètudes, sa famille ayant refusÈe de le confier au collËge des JÈsuites d'Aubenas, et travailla avec ses deux oncles dans le commerce qu'ils tenaient. Sa mËre le conduisitdans les assemblÈes de la rÈgion, o˜ il fut lecteur de la Bible dËs l'’ge de 14 ans. sa vocation d'apostolat pris forme aprËs qu'il eut ÈtudiÈ un certain nombre d'ouvrage d'inspirationprotestante. Il commenÁa tout jeune ý mener une vie errante et dangereuse de propagateur de la foi. DÈsabusÈ par le ProphÈtisme, Antoine consacra sa vie ý l'Ètablissement d'une discipline ecclÈsiastique, il Ècrivit de nombreux ouvrages, en particulier une Histoire des Troubles des CÈvËnes ou de la Guerre des Camisards, dont la qualitÈ est encore admirÈe par les historiens d'aujourd'hui. Sous son impulsion, des synodes furent orgabisÈs; les futurs pasteurs du DÈsert allËrent Ètudier dans les sÈminaires suisses. Antoine Court fut la conscience des RÈformÈs, et c'est l'honneur du Vivarais d'avoir vu un de ses fils restaurer le protestantisme en France. Antoine Court passa en Suisse ý la fin du mois d'aoñt 1729. Il mourrut le 12 juin 1760 prËs de Lausanne.(Extrait de: Les Camisards du Vivarais. G. Paysan) Il fut en tant que "restaurateur du protestantisme franÁais au XVIIIËme siËcle" l'un des plus illustres enfants de Villeneuve de Berg. (Histoire de Villeneuve de Berg par Albert Grimaud 1942) Antoine COURT, 1695-1760, Pasteur au ³DÈsert² Protestant ou catholique, l¹ArdÈchois a menÈ un combat incessant pour affirmer sa foi. Le pionnier de la restauration du protestantisme en France au 18Ëme siËcle, naquit le 17 mars 1695 ý Villeneuve de Berg. ElevÈ dans la foi rÈformÈe par sa jeune mËre veuve, en des temps o˜ il Ètait dangereux de se rÈclamer de la RÈforme êvangÈlique, Antoine, avide de savoir, frÈquente par obligation les petites Ècoles catholiques de Villeneuve-de-Berg. Il est aux cÙtÈs de sa mËre dans les assemblÈes nocturnes du DÈsert dans la ferveur des priËres et de lecture de la Bible, il y rencontre les prophÈtesses dont il condamnera plus tard les excËs.. Son chemin Ètait donc tout tracÈ... A dix-huit ans, il devient ³prÈdicant². Il convoque, rassemble et apparaÓt de plus en plus comme un chef spirituel. IntrÈpide, indiffÈrent au danger, toujours en marche, il incarnait aux yeux des quelques protestants qui se sentaient abandonnÈs un guide. Deux ans plus tard, il fait partie ý Monoblet (Gard actuel) des neuf clandestins qui jettent les bases de la restructuration du protestantisme. Bravant l'ignorance, le fanatisme et les persÈcutions (sa tÍte Ètait mise ý prix dix mille livres) il Èlabore un plan d'action pour restaurer en France le Protestantisme. Pour atteindre ce but quatre moyens s¹offrirent ý lui: - ³Instruire les peuples dans les assemblÈes religieuses² - ³Ramener ý des idÈes plus saines² les esprits exaltÈs" - ³RÈtablir l¹usage de la discipline et des corps ÈcclÈsiastiques² - ³Former et instruire des pasteurs². De 1718 ý 1729, il parcourut inlassablement de jour comme de nuit les chemins languedociens, organisant des synodes. Risquant la torture, le gibet, les galËres, il continuait ý prÈsider des assemblÈes religieuses clandestines. En 1729, aprËs quinze ans d¹une vie difficile de pasteur clandestin, Antoine, pourchassÈ, se rend ý Lausanne en Suisse, terre "du refuge". Il anime ý Lausanne le sÈminaire qui forme les pasteurs du DÈsert et appelle ý la solidaritÈ internationale envers les victimes des persÈcutions.. Il continuera cependant ý former des jeunes envoyÈs de France. Faisant oeuvre d¹historien, il recueille documents et tÈmoignages aujourd¹hui rassemblÈs dans ³Les papiers Court, mÈmoire du protestantisme.² Il disparut en aoñt 1760 et avait mÈritÈ son nom de "restaurateur" des Èglises rÈformÈes de France. |
| TÈmoins : Louis Faure aussi marchand baquetier de St AndrÈ diocËse d'Ambrun et Pierre Bouchier travailleur de terres. |
| TÈmoins : FranÁois et Estienne Maurin, Mathieu Court, AndrÈ Coste |
| TÈmoins : Philippe C ... , Louis Court, Joseph Champet, Louis .... |
Ces pages ont ÈtÈ crÈÈes par Oxy-gen version 1.37f, le 20/10/2007.